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  • : COMPANS INFORMATION COMMUNALE, INTERCOMMUNALE ET ENVIRONNEMENTALE, ROISSY-PAYS DE FRANCE
  • : Asseyez-vous confortablement dans notre fauteuil, et laissez-vous bercer par l'effarante actualité communale et environnementale de Compans-Mitry. Bien calé, vous tomberez quand même de haut... Compans : 700 habitants, 7 prises illégales d'intérêts, 7 sites Seveso ! Bienvenu sur le blog du Collectif des Contribuables Companais et Mitryens.
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9 mars 2016 3 09 /03 /mars /2016 08:28
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23 mars 2015 1 23 /03 /mars /2015 22:12
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9 mars 2015 1 09 /03 /mars /2015 19:29

Dans COMPANS INFO 49, page 17, le conseiller au titre ronflant "délégué à la propreté et à l'environnement" vante la propreté à Compans !

Le titre est ravageur "La propreté ça se partage", visiblement on n'a pas tous la même définition de la propreté... Alors lisez ses brillantes annonces... et comparez :

La propreté à Compans c'est : "le nettoyage des rues et des trottoirs"...

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La propreté à Compans c'est : "l'enlèvement des dépôts sauvages"...

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Le résultat est médiocre... voir nul... sacré conseiller !

ET CE N'EST PAS FINI :

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Quel piètre résultat, très cher conseiller en charge de l'environnement...

Allez... au boulot ! 

Il fini son article, brillament rédigé, par : "Avec vous Compans veut gagner le pari de la propreté"...

Ah ! Ah! Ah!  avec lui ce n'est visiblement pas gagné !

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21 décembre 2014 7 21 /12 /décembre /2014 09:25

 

Alors même que le périmètre d'étude du PPRT (Plan prévention des risques particuliers-liés aux entreprises SEVESO seuil haut) se réduit dangereusement, que les maladies se développent, etc.. Le maire et ses conseillers (-2) ont voté à la majorité le PPRT.

 

Les gentils conseillers et notre bon maire ayant pris soin de relever 3 réserves, mais ont ensuite voté un avis favorable !?... Bref toujours incohérents dans leur décisions de protection communale. Lorsqu'on émet des réserves et on en tire les conclusions qui s'imposent : c'est à dire un avis dévavorable.

LE SCANDALE : le maire a relevé l'aspect épidémiologique (nombreuses maladies graves autour du site) + déchets toxiques stockés + danger avions... et vote ensuite FAVORABLEMENT tout en oubliant de mentionner LE PRINCIPAL : la réduction du périmetre du PPRT...

Bref, en cas d'accident majeur, nous saurons qui a pris cette décision.... vous aurez la vidéo sur COMPANS.ORG. Vous constaterez qui a voté pour...

Bientôt les cartes, bientôt les preuves...

Et bientôt l'explication de ce vote qui reste un calcul environnemental dangereux de la part du maire. Pourquoi ne rien dire sur la réduction du périmètre ? ....

Mais bon sang mais c'est bien sûr, cela dégage des terrains... >Proces Xynthia : un maire si persuadé et si persuasif...

 

- A 31 minutes et 58 secondes début du débat sur le Plan de Prévention des Risques Technologiques.

- A 45 minutes et 20 secondes les votes sur le PPRT .

 

 

 

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5 décembre 2014 5 05 /12 /décembre /2014 06:46

Source : Le Parisien
Pourquoi les riverains des sites industriels sensibles de Seine-et-Marne n'ont-ils pas voix au chapitre comme le prévoit pourtant la loi ? C'est en substance la question que pose Mireille Lopez, membre de Nature Environnement 77 et présidente de l'association Adenca.

Depuis 2012, une circulaire prévoit l'ouverture au public des commissions de suivi chargées d'encadrer l'activité et les projets des exploitants de sites industriels sensibles.

Oui mais voilà, cette décision revient au bureau de chacune de ces commissions. Des bureaux composés exclusivement de six membres, représentant le préfet, les services de l'Etat, l'exploitant, les salariés, les élus du secteur et enfin les associations.

Deux commissions de suivi ont refusé de siéger en public

Et pour l'heure, les deux seules commissions du département s'étant prononcées sur une éventuelle ouverture au public ont répondu par la négative. C'est le cas du comité de suivi de BASF (ex-Cognis) à Meaux et de celui de la zone industrielle de Mitry-Compans. Pour le premier, « les réunions se déroulent dans l'usine, qui est un site Seveso. Les conditions n'étaient donc pas réunies pour ouvrir la CSS au public », précise-t-on au cabinet du maire de Meaux avant d'ajouter toutefois que « l'élue de Meaux qui y siège votera pour l'ouverture au public lors de la prochaine réunion ».

http://www.leparisien.fr/espace-premium/seine-et-marne-77/les-associations-veulent-plus-de-transparence-29-10-2014-4248461.php

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28 septembre 2014 7 28 /09 /septembre /2014 17:23

gazLe maire de Compans expose à un danger les enfants et ceux qui s'en occupent en persistant à mettre des ALGECO au dessus d'un GAZODUC enterré (Gaz haute pression).

En dépit des avetissements verbaux, des courriers qu'il a reçu de l'association de parents indépendante (et qu'il dit n'avoir pas eu), il persiste dans des conduites à risques.

COMPANS.ORG met encore une fois le maire devant ses responsabilités et appelle les parents à réagir !  

Pourquoi avoir mis des ALGECO a proximité immédiate d'une conduite de gaz à haute pression? Pour faire croire que tout avait été prévu pour les rythmes scolaires... bref encore du grand n'importe quoi !

DANGER !!!!  les bornes et chapeaux jaunes délimitent une zone à riques technologiques, là il s'agit d'une conduite de gaz haute pression gérée par GRT, elle passe au raz des Algéco pour enfant... Bien évidemment des algécos ce n'est pas très solide... Mais le maire s'en moque visiblement... Alerté, il n'a rien fait, comme d'habitude, il se voile la face hélàs ! Qui a la délégation de la sécurité intercommunale ? Qui a la délégation école ? Messieurs soyez sérieux !  

Cliquez > http://www.iffo-rme.fr/content/risque-industriel

CONSTATEZ PAR VOUS MEME > allez en bas de l'école !!!!  La conduite est visible dans l'alignement des poteaux... il n'y a que la municipalité qui ne les voient pas !

PARENTS LE SAVIEZ-VOUS  ? AVEZ-VOUS ETE INFORMES PAR LA COMMUNE ?

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L'article n°5 de la loi de modernisation de la sécurité civile du 13 août 2004 a créé l'article L.312-13-1 du code de l'éducation qui stipule : « Tout élève bénéficie, dans le cadre de sa scolarité obligatoire, d'une sensibilisation à la prévention des risques et aux missions des services de secours ainsi que d'un apprentissage des gestes élémentaires de premier secours ». C’est donc une obligation légale pour l’Éducation Nationale de donner un enseignement sur les risques majeurs.  

L'article n°8 de la Charte de l'environnement, en tant que règle constitutionnelle, s'impose à toutes les lois et tous les actes des autorités publiques stipule : « L'éducation et la formation à l'environnement doivent contribuer à l'exercice des droits et devoirs définis par la présente Charte ».  

Les établissements scolaires sont tenus de réaliser leur Plan Particulier de Mise en Sûreté (PPMS) pour être prêt à réagir en cas de catastrophe majeure (cf. la circulaire n°2002-119 du 29 mai 2002, le BOEN hors-série du 30 mai 2002 et l’instruction DGER/SDACE/N2002-2025 du 18 mars 2002  pour les établissements d’enseignement agricole). Le PPMS doit avoir un aspect opérationnel mais aussi un rôle éducatif : il doit y avoir une communication auprès des élèves des dispositions du PPMS et la prise en compte des risques majeurs par leur établissement.

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23 septembre 2014 2 23 /09 /septembre /2014 16:14

 

  Une bouteille ,imaginons un wagon de 60 tonnes chez Gazéchim !!

 

fuite air liquide mitry mory

Edition La Marne du 17 Septembre 2014

 

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21 septembre 2014 7 21 /09 /septembre /2014 14:49

 

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20 septembre 2014 6 20 /09 /septembre /2014 12:21
Excellent article d'un journaliste du Monde : Pascale Robert-Diard
Procès Xynthia: le monde perdu de René Marratier, ex maire de La Faute-sur-Mer
http://prdchroniques.blog.lemonde.fr/2014/09/18/proces-xynthia-le-monde-perdu-de-rene-marratier-ex-maire-de-la-faute-sur-mer/

Depuis qu'une tempête a endeuillé et dévasté sa commune de la Faute-sur-Mer, René Marratier est un naufragé. Il a échoué sur une rive inconnue, dans un monde qu'il ne comprend plus. Avant Xynthia, il habitait une terre familière. Une naissance il y a 62 ans à Luçon en Vendée, une vie professionnelle commencée dans un garage et hissée, au fil des années, au rang de patron d'une petite entreprise de transport routier, une consécration sociale acquise en 1989 lorsqu'il est devenu maire de la Faute-sur-Mer pour la première fois et une satisfaction tranquille renforcée à chaque renouvellement de son mandat. Quatre élections, presque à l'unanimité, ça donne confiance en soi.

La commune grossissait aussi sûrement que ses certitudes. Le conseil municipal ronronnait, les délibérations ne traînaient guère, René Marratier maudissait les fonctionnaires de l'Etat et leur "acharnement administratif", ce n'était quand même pas eux qui allaient dicter ce qui était bon pour la commune et ce qui ne l'était pas, il le savait mieux que personne, le maire, ce qu'il fallait à la Faute-sur-Mer.

Les pavillons neufs au bord de l'eau se remplissaient l'été, fermaient l'hiver, on en construirait d'autres l'année suivante et celle d'après encore, ça ferait vivre les commerçants et tourner les entreprises des Fautais, qu'on distinguait toujours des résidents secondaires.

Mais au fil des années et des retraites encore heureuses, les secondaires sont restés plus longtemps dans leurs pavillons, certains d'entre eux ont fini par s'y installer définitivement. A la retraite, on a du temps. Le temps de lire, de s'informer, de créer des associations, de questionner Monsieur le maire et peut-être même d'aspirer un jour à le remplacer. René Marratier appelait ceux-là les "emmerdeurs".

Annette et François Anil en faisaient partie. Des obstinés, ces deux là, qui habitaient de l'autre côté de la digue. Toujours en train de se renseigner, de s'inquiéter sur la sécurité, d'écrire au préfet et de farfouiller dans les textes réglementaires. Depuis qu'ils avaient pris connaissance de l'arrêté préfectoral de 2005 qui alertait sur la nécessaire sécurisation de la digue, ils ne lâchaient plus René Marratier, l'interpellaient sur la "prévention des risques" dans les bulletins de l'Echo fautais qu'ils distribuaient eux-mêmes dans les boites aux lettres. Le maire ne prenait pas la peine de leur répondre, il avait rangé leurs "jérémiades" dans la catégorie de celles qui "n'intéressent que les défenseurs des petits oiseaux".

René Marratier a vu rouge quand Annette Enil est parvenue à s'immiscer parmi les membres du syndicat de la digue. Il a écrit une longue lettre à la sous-préfète pour se plaindre de l'élection de cette dame, "parfaitement incompétente", disait-il. Il pensait surtout, et une large part du conseil municipal pensait comme lui, qu'à force de parler de risque d'inondation, Annette et François Enil allaient nuire à la bonne image de la commune auprès des nouveaux candidats à résidence secondaire.

Un risque bien réel, celui-là, comparé à celui, si lointain, si théorique, de voir un jour l'océan se déverser sur la commune.

Mais Xynthia est arrivée. Et avec elle, tout a chaviré dans le monde de René Marratier. Devant le tribunal correctionnel des Sables d'Olonne qui le juge, avec deux de ses adjoints et le fils - agent immobilier - de l'une d'entre eux, pour avoir involontairement causé la mort de 29 personnes, les "emmerdeurs" d'hier ont été promus "lanceurs d'alerte". C'est comme cela que le président Pascal Almy les appelle, il insiste beaucoup sur cette expression, et il reproche avec dureté à René Marratier de ne pas les avoir écoutés.

Mais ce n'est pas tout. Parmi les "emmerdeurs" du monde d'avant Xynthia, il y avait aussi Renaud Pinoit, un ancien Parisien qui tenait un blog et se présentait régulièrement aux élections municipales où il ne récoltait que quelques voix. La tempête et sa tragédie ont fait de lui le président de l'association des victimes de l'inondation de la Faute-sur-Mer (AVIF). Là non plus René Marratier n'a pas su faire.

Il a continué de voir en lui l'adversaire du monde d'hier - "c'est, politiquement, quelqu'un qui s'oppose à moi, qui me dénigre", dit-il au tribunal - il n'a pas compris que Renaud Pinoit était devenu le héros du monde d'aujourd'hui. Avec ses victimes, leur "syndrome du survivant" décrit par les psychologues, leur besoin de compassion, de "cellule psychologique" et de "devoir de mémoire".

La liste des griefs est longue, que Renaud Pinoit a égrenée, mercredi 17 septembre à la barre. Il y a ce premier conseil municipal d'après Xynthia que le maire n'a pas pensé à ouvrir par une minute de silence. "L'absence de cette minute de silence, c'est très important. Elle a choqué. Pouvez-vous entendre cela, Monsieur Marratier?" a demandé le président.

Ce mémorial avec les noms des victimes que l'association réclamait et dont il ne voulait pas, leur préférant l'évocation, plus discrète pour les touristes, de vingt-neuf drapeaux flottant au vent. Ces demandes de rendez-vous qu'il n'accordait pas à l'association, ces phrases malheureuses par lesquelles il leur reprochait de trop parler aux médias et de ramener toujours La Faute-sur-Mer à son image de commune sinistrée. "Il faut tourner la page", disait René Marratier. "On a entendu aussi une adjointe nous dire: 'La Faute-sur-Mer, c'est quand même pas Oradour-sur-Glane", raconte Renaud Pinoit.

Le président intervient, la voix toujours aussi sévère. Il reproche à René Marratier de ne pas avoir incarné, face à la tragédie, le "recours" que l'on attend d'un maire. De n'avoir pas pris la mesure de la douleur des victimes. L'ancien élu tente de se justifier. Bégaye des formules aussi froides qu'un décret préfectoral. "Nous n'avons pas failli à notre mission. Il n'y a pas eu de manquement. Je vous le ratifie". Ses avocats assistent, impuissants, à son naufrage à la barre : J'ai fait ce que j'ai pu avec mes faibles compétences mentales et intellectuelles. Je n’avais pas les armes. J’ai des regrets bien sûr...", dit encore René Marratier.

Les mots se bousculent, ceux qui sortent ne sont pas ceux qu'il faudrait prononcer dans un moment pareil : Je ressens la même douleur que les victimes de Xynthia. Je suis moi-même sinistré...
La voix de l'ancien maire s'étrangle dans le micro. Derrière lui montent les murmures indignés des bancs des parties civiles. Face à lui répond le regard glacé des trois juges du tribunal. René Marrratier murmure alors, dans la langue de ce monde nouveau qui n'est pas le sien: Moi aussi, vous savez, j'ai le syndrome
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16 septembre 2014 2 16 /09 /septembre /2014 21:02
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