Présentation

  • : COMPANS INFORMATION COMMUNALE, INTERCOMMUNALE ET ENVIRONNEMENTALE, ROISSY-PAYS DE FRANCE
  • : Asseyez-vous confortablement dans notre fauteuil, et laissez-vous bercer par l'effarante actualité communale et environnementale de Compans-Mitry. Bien calé, vous tomberez quand même de haut... Compans : 700 habitants, 7 prises illégales d'intérêts, 7 sites Seveso ! Bienvenu sur le blog du Collectif des Contribuables Companais et Mitryens.
  • Contact

Rechercher

22 janvier 2014 3 22 /01 /janvier /2014 21:34

Le saviez-vous ? Compans, village recordman du monde d'usines de type SEVESO 1 et SEUIL HAUT par habitant...
Lien de l'article du journal LIBERATION
http://www.liberation.fr/societe/2013/01/23/les-vrais-risques-sont-pour-les-riverains-des-usines-seveso_876105

Pour Maryse Arditi, de France nature environnement, la fuite de gaz mercaptan à Rouen rappelle que la France n'est pas à l'abri d'un grave accident industriel, malgré l'amélioration de la législation depuis l'explosion de l'usine AZF en 2001.
La fuite de gaz mercaptan, intervenue dans une usine Lubrizol de Rouenrappelle que les risques industriels existent toujours, bien que le danger du mercaptan soit relativement mesuré.
Après la catastrophe italienne de Seveso en 1976, l'Union européenne avait mis en place la directive Seveso, afin d'identifier les risques et prendre les mesures nécessaires pour y faire face. Depuis 2009, Lubrizol est d'ailleurs classée en Seveso seuil haut - le plus dangereux - et donc particulièrement contrôlée. En 2001, l'explosion de l'usine AZF de Toulouse - 31 morts et 2 500 blessés - avait obligé l'Etat à renforcer sa législation avec la loi Bachelot de 2003.

Où en est-on aujourd'hui ?Les Plans particuliers d’intervention (PPI) obligent à l’information des riverains. Pourtant, dans le cas de la fuite de l’usine Lubrizol, beaucoup se sont plaint d’un manque d’information. Pourquoi ?
-Les PPI ne sont pas toujours bien respectés par les préfectures. Pour Lubrizol, je pense que la préfecture et l’usine n’ont voulu communiquer qu’une fois l’incident sous contrôle. Sauf qu’avec l’arrivée du nuage de gaz sur Paris, le nombre d’appels a explosé. Ils ont alors dit que ce n'était pas toxique, et qu’il n’y avait aucun danger. Mais ils ont quand même annulé un match de football...

Vous doutez de la version officielle ?
-Déjà, cet incident n’est pas une fuite comme on a pu le dire. Une fuite se répare facilement. Là, c’est une réaction chimique dont l’usine a perdu le contrôle. Et ne l’a toujours pas vraiment récupéré. C’est beaucoup plus grave. Pour le gaz, évidemment qu’une fois sur Paris, ce n'était pas toxique car il était en très faible concentration. Seule son odeur était génante. Mais sur place, qu’en est-il ? Et le mercaptan est toxique par inhalation. Il faut donc prendre en compte les gens qui ont des problèmes respiratoires, les enfants. Les informations n’ont pas suivi, il n’y a eu aucune consigne. La communication s’est contentée de dire que ce n'était pas toxique. C’est absurde.

Les citoyens peuvent-ils tout de même se sentir en sécurité en France, malgré les 1200 usines Seveso ?
-Comme d’habitude le risque zéro n’existe pas. Mais les vrais risques sont pour les riverains de ces usines. Il y a trois types de riverains. Ceux qui travaillent dans l’usine, et qui n’ont donc pas de problème puisqu’ils sont au coeur de ce système et ont confiance. Il y a ceux qui n’y travaillent pas mais qui font confiance aux mesures de prévention et de sécurité et qui restent donc habiter ici. Et il y a les anxieux. Ceux-là préfèrent déménager...

Jugez-vous la législation actuelle suffisante pour prévenir et gérer les risques ?
-La loi Bachelot impose l'information des riverains, la sensibilisation des salariés et des sous-traitants, la maîtrise de l’urbanisation par la définition de zones à risques et la reconnaissance de la notion de risques technologiques. Les zones à risques sont bien mieux gérées, puisque désormais on étudie tous les dangers. Malheureusement, la loi a pris un retard phénoménal dans son application. Tous les sites Seveso devaient avoir revu leurs plans pour 2008. Aujourd’hui il n’y en a que 160 d’approuvés. La crise a été un frein a tout ça. C'est un argument choc pour les entreprises qui nous disent : «On n'a pas les moyens de faire mieux».

Est-ce qu’on peut aller encore plus loin pour sécuriser ces sites ?
-Aujourd’hui je pense qu’il faut véritablement insister sur un point : arrêter la multiplication massive de la sous-traitance. Dans une usine, les salariés sont les premières victimes d’un accident, et les derniers remparts pour arrêter l’accident. Ce sont des gens formés pour ça. Ce n’est pas le cas des sous-traitants. Il y a des gens dans des usines qui ne connaissent pas les risques, qui n’ont pas forcément conscience du milieu dans lequel ils travaillent. Pour les Seveso seuil haut, il existe une liste d’emplois cruciaux qui ne peuvent pas être sous-traités. Je pense qu’il faudrait généraliser cette pratique à d’autres usines, même des usines non classées.

Partager cet article
17 janvier 2014 5 17 /01 /janvier /2014 21:42
Des risques de destruction existent d'une partie de la forêt régionale de Montgé-en-Goële qui s'étale sur 960 hectares
Cette forêt régionale se situe sur le canton de Dammartin en Goële, canton qui possède :
- 1 incinérateur à Monthyon
- 4 décharges, 1 classe 2 à Monthyon et 3 ISDI (Montgé en Goële, Moussy le Neuf, VIlleneuve sous Dammartin)
- 1 carrière remblayée par des déchets "dits inertes" Knauf St Soupplets.
 
Canton sur lequel 2 autres projets de décharges ISDI sont en cours d'instruction à la DDT 77 : Moussy le Neuf et Villeneuve sous Dammartin
 
Le projet dangereux est celui des  carrières de gypse à ciel ouvert Knauf sur la butte de la Goële, butte couverte par la forêt régionale qui possède des arbres plus que centenaires : Châtaigniers, Hêtres, Chênes...
Le conseil régional a fait abattre des arbres pour creuser une route forestière de près d'un kilomêtre qui est recouverte de grave (mélange de graviers et béton) fortement compacté, qui permet de faire circuler des engins et camions de tonnage important. (des panneaux avec le sigle du conseil régional indique : " des travaux d'abattage en cours ..et aménagement d'une route forestière)
 Cette route forestière, ressort sur un chemin goudronné qui débouche sur une départementale.
 
Une route forestière de cette importance est créée dans un but précis que nous ne connaissons pas...
Exploiter cette forêt ou favoriser l'exploitation de carrrière de gypse à ciel ouvert.... ?
 
Un inventaire entomologique a été réalisé dans cette forêt en 2004 :
"Le cortège entomologique mis en évidence sur l'ensemble de la Forêt Régionale de Montgé est très diversifié et particulièrement riche en termes d’insectes forestiers. La faune établie actuellement montre que cette forêt doit être considérée comme un élément majeur et relais entre les massifs forestier du nord de la région, les petits massif de l’est, les forêts péri-urbaines de Vaires-sur-Marne et plus près de la capitale des sites de Sevran et de Bondy. Par ailleurs la mise en contact de ces différents sites est primordiale pour permettre une mener à bien une conservation de la diversité entomologique en Ile-de-France ....."
 
L'association ADEB 77  a fait paraître un article sur son site, article qui résume parfaitement la situation http://www.adev77.org/crbst_17.html
 
Ce poumon vert, il n'est pas acceptable qu'on le détruise. Allez sur le site de l ADENCA
Partager cet article
17 janvier 2014 5 17 /01 /janvier /2014 21:12

Cliquez  :

https://www.change.org/fr/p%C3%A9titions/pr%C3%A9fectures-du-93-77-pour-la-v%C3%A9rit%C3%A9-sur-la-radioactivit%C3%A9-et-les-pollutions-du-fort-de-vaujours?share_id=HJfAGnrDld

 

A quelques kilomètres de Paris, le long de la promenade de la Dhuis et sur les communes de Courtry, Coubron et Vaujours, trône le Fort de Vaujours.Cette ancienne fortification militaire a été utilisée de 1951 à 1997 par le Commissariat à l'énergie atomique (CEA) pour y développer les détonateurs des bombes atomiques de l'armée Française.
Pendant des années, le CEA a pratiqué sur le site des essais nucléaires dits sous-critiques (ou tirs “froids”). Ces tirs consistaient à l'explosion de bombes atomiques factices construites autour de sphères d'uranium 238. Ces tirs ont été réalisés à l'air libre aussi bien qu'en salles de tirs.

 



Partager cet article
27 août 2013 2 27 /08 /août /2013 21:13

"Tout va bien, ils mentent à Compans.org..... Dormez....croyez-moi...ma creche...Mes lotissements... Mes promesses de logement...sans dangers"

Notre bon maire s'escrime a répêter ses rengaines partout...
Hélas, il est encore à la masse au niveau environnement, il ferme les yeux sur ce qui pourrait fâcher...
Bon tenez vous bien...
POLLUTION DES SOLS et NAPPES PHREATIQUES : de l arsenic dans l'eau à Compans, les nappes sont contaminées...
Quoi, on dit n'importe quoi...
Lisez, en dernière ligne....>

http://basol.environnement.gouv.fr/fiche.php?page=1&index_sp=77.0091


Extrait : La surveillance à ce jour ne met pas en évidence d'évolution particulière. En effet, les résultats de la campagne de mai 2012 montrent que les valeurs sont globalement stables à l'exception de fluctuations observées sur l'arsenic, les chlorures et le cis-dichloroéthylène sur certains piézomètres.

Il faut savoir lire entre les lignes....non ?

Partager cet article
14 août 2013 3 14 /08 /août /2013 19:11

Un association qui suit les actions de la municipalité a décidé de lever le voile sur les vrais dangers du fameux PLU de Compans voté en catimini par le maire et seulement 5 conseillers présents sur 15... fin juin, juste avant les vacances.

Tout le monde le sait, le maire veut ses lotissements quel qu'en soit le prix, pour ses petites promesses, pour avoir une grande ville, pour sa gloriole...(et on sait comment, pourquoi et pour qui,  il attribue les logements !) mais ces lotissements sont situés dans une zone à grands risques....Prendra-t-il  la lourde responsabilité d'assumer cette décision en cas d'accident : tire-il des leçons des grandes catastrophes ? L'explosion d'AZF, une usine de type SEVESO comme il y en à 3 qui impactent Compans, la tempête Xynthia qui a mis en lumière que des constructions tolérées n'importe comment par les communes pouvaient causer la perte d'êtres humains?

Bref, cette fois une association a décidé de mettre les pieds dans le plat et de prendre ses responsabilités. Son action permettra d'établir les responsabilités des décideurs en cas d'accident : ils (le maire et ses conseillers) ne pourront pas dire "on ne savait pas !"

 

Un recours officiel a été effectué pour une simple raison :

 

 Pourquoi construire des habitations dans un site dangereux ?

 

En effet, des risques existent : explosions, réactions chimiques mortelles, et des retombées de particules favorisant les cancers...

Bien évidemment, le maire balait ces réalités... Pourtant elles existent hélas, elles sont même plausibles : c'est pourquoi notre commune est soumise à un plan  de prévention des risques technologiques PPRT... A Compans nous sommes impactés par 3 sites SEVESO seuil haut... et ce n'est pas sans conséquences.

 

Souvenez-vous de l'explosion d'une seule usine SEVESO en France : AZF

 

azf scenario

 

Le recours :recours plu 1 001recours plu 2 001recours plu 3 001 

Retour sur XYNTHIA (franceinfo):

Trois ans d'enquête, des centaines d'auditions, un dossier de 22 tomes : la justice a bouclé son instruction pour "homicides involontaires". Le procès de la tempête Xynthia qui avait fait 29 morts, devrait se tenir en 2014.
Après trois ans d'un travail de fourmi accompli par les gendarmes, les 22 tomes du dossier sont sur le bureau de procureur de la République des Sables d'Olonne. Des centaines d'auditions (sinistrés, élus, représentants de l'Etat, secours), la chronologie des faits, la chaîne des responsabilités : le parquet a trois mois pour les synthétiser.

Un procès devrait se tenir en 2014, sans doute pas avant l'été. Un procès très attendu par la centaine de parties civiles, essentiellement des familles de sinistrés. "Ils devront nous regarder dans les yeux, et comme ils seront sous serment, ils devront enfin dire la vérité", confie l'un des sinistrés .

Cinq personnes ont été mises en examen dans ce dossier : le maire de La Faute-sur-Mer (Vendée) , deux de ses adjoints, un promoteur immobilier local et un fonctionnaire de l'ancienne Direction départementale de l'Equipement. Des mises en examen visent également deux personnes morales, deux sociétés qui ont construit des maisons dans la "cuvette mortifère", une zone sous le niveau de la mer où la plupart des victimes ont trouvé la mort.
A cet endroit, plusieurs retraités et leurs petits-enfants en vacances chez eux ont été retrouvés noyés. Les victimes ont été piégées par les volets électriques de leurs maisons construites de plain pied.

Au total, 29 personnes ont trouvé la mort ce 28 février 2010 quand la tempête Xynthia a provoqué l'inondation subite de ce quartier de La Faute-sur-Mer situé sous le niveau de la mort, et protégé par une digue.

Retour sur AZF (l'express)
La fin d'un procès fleuve. La cour d'appel de Toulouse a décidé ce lundi que l'explosion de l'usine AZF, qui a fait 31 morts et 19000 blessés le 21 septembre 2001, était bien dûe à un accident chimique - un mélange de deux produits incompatibles - provoqué par des négligences. Décryptage de cette décision de justice. 

Ils ont été reconnus coupables
La cour a déclaré coupables d'homicides involontaires "par négligence ou imprudence" l'exploitant de l'usine AZF Grande Paroisse (groupe Total) et son ex-directeur . 

Grande Paroisse a été condamné à la peine maximale, soit 225 000 euros d'amende. 

Le directeur a été condamné à 3 ans de prison dont 2 avec sursis et 45 000 euros d'amende. Selon les motivations lues par le président de la cour d'appel  devant des centaines de parties civiles et d'auditeurs: le directeur a contribué à créer la situation qui a provoqué le dommage et n'a pas pris les mesures permettant de l'éviter: ces fautes ont exposé les salariés et la population à un risque d'une particulière gravité qu'il ne pouvait pas ignorer". Elle a estimé que ces manquements dans la gestion des déchets avaient permis la rencontre de produits incompatibles.

La défense de l'ex-directeur de l'usine AZF et de son propriétaire Grande Paroisse (groupe Total) va former dès ce lundi un pourvoi en cassation. Dès la fin de la lecture du délibéré, Me Daniel Soulez Larivière a qualifié la décision de la Cour d'appel de "plus passionnelle que rationnelle" et a ajouté que "c'est une affaire qui ne fait que commencer". "On ira jusqu'à la Cour des droits de l'Homme de Strasbourg si c'est nécessaire", a-t-il ajouté. 

Ils ont été mis hors de cause
En revanche, la cour a estimé irrecevable la demande de poursuites contre la maison-mère Total et son ancien PDG . Elle les a déclaré hors de cause car les juges d'instruction avaient déjà écarté à plusieurs reprises les demandes de mises en examen les visant. 

Plusieurs parties civiles avaient demandé que le groupe et son ancien patron soient poursuivis pour qu'une éventuelle sanction ne se limite pas aux "lampistes", l'industriel exploitant l'usine et l'ancien directeur de l'usine. 

Total a toujours estimé que le scénario de l'accident chimique était "impossible". Le chef de file de la défense, Me Daniel Soulez Larivière, a régulièrement laissé planer, avant le délibéré, la menace d'un pourvoi en cassation en cas de condamnation.  

Partager cet article
8 août 2013 4 08 /08 /août /2013 05:35

Et oui, ça recommence... Ca fume, ça pue à Compans.
Heureusement que le futur lotissement ne verra pas le jour, coincé entre les sites SEVESO, la fumée, les odeurs de la station d'épuration,la RD212 a 2 X 2 voies et autres désagréments....ça aurait vraiment été un lotissement poubelle !
Cliquez>

     Environnement : nuisances olfactives, ce que la mairie vous cache...      

     http://adenca.over-blog.com/article-compans-un-incendie-qui-couve-depuis-pres-de-8-mois-quelles-incidences-sur-les-eaux-de-la-biberon-116492526.html

Partager cet article
13 juin 2013 4 13 /06 /juin /2013 20:48

Des informations confidentielles provenant de la mairie nous indiquent que les lotissements prévus dans le nouveau PLU ne verront pas le jour.
Les promesses du maire ne seront pas tenues.
Lui le sait, mais continue de dire à qui veut l entendre que ce n est pas vrai...
Bientôt les preuves accablantes...

Partager cet article
1 mai 2013 3 01 /05 /mai /2013 11:11

SCOOP :

 les promesses du maire s'agissant du nouveau lotissement seraient toutes annulées....

 

 

PROCHAINEMENT : l'explication....

 

Demandez-lui si vous voulez comprendre avant !

Restez connectés 

Partager cet article
3 avril 2013 3 03 /04 /avril /2013 20:43

A consulter régulièrement en matière d'environnement en seine et marne

Excellent blog sur l'environnement : > http://adenca.over-blog.com/

 

NUISANCES OLFACTIVES A COMPANS, GRESSY ET MITRY MORY

Articles du PARISIEN :

Les riverains ont la gorge qui pique
De la toux et la gorge irritée. Les habitants de Mitry-Mory sont incommodés depuis le début de la semaine par des odeurs nauséabondes et un étrange nuage. Le tout est dû à l’incendie qui couve depuis juillet dernier à l’entreprise de compostage Frasnier à Compans. Le feu qui se répandait sur 15000 m³, suite à la fermentation de la terre, a été circonscrit par la méthode de l’étouffement, c’est-à-dire qu’il a été recouvert de terre. « Comme le feu continue, la terre cuit et se fissure, laissant passer la fumée, expliquent les pompiers. Avec la hausse des températures, les odeurs se réveillent. Mais ce n’est pas dangereux. » Les pompiers ont choisi la technique de l’étouffement, préférable à l’utilisation de l’eau. « Cela pourrait polluer les marais autour ».

Le Parisien Publié le 08.03.2013, 07h00

CLIQUEZ>

http://www.leparisien.fr/espace-premium/seine-et-marne-77/les-riverains-ont-la-gorge-qui-pique-08-03-2013-2624563.php

 

Bientôt la fin de sept mois d’incendie
C’est un incendie bien singulier. Si singulier qu’il dure depuis sept mois et incommode les narines des riverains de Compans. « Les pompiers sont encore venus voir jeudi parce qu’ils ont rarement vu ça », assure Alain Frasnier, le propriétaire de l’entreprise de jardinage qui porte son nom.
C’est ici que le feu a pris en août dernier pour une raison indéterminée. Depuis, 15000 m3 selon une estimation des pompiers, 2000 m3 selon Alain Frasnier, d’un mélange de terre et de bois brûlent doucement. Pour éteindre l’incendie, les pompiers ont opté pour la méthode de l’étouffement avec de la terre, couramment utilisée dans ce cas-là. L’eau aurait pu polluer les marais alentour.
Depuis sept mois, Alain Frasnier s’acharne à faire diminuer cette immense butte de compost remplie de braises. « On étale parce que, quand on a ouvert le tas, on s’est rendu compte que ça brûlait encore. On met de la terre dessus, on attend que ça refroidisse, détaille le chef d’entreprise. Puis on passe la terre dans un tamis. » C’est donc avec une joie non dissimulée qu’Alain Frasnier annonce la fin de tous ces efforts. « On arrive au bout du tas, soupire-t-il, soulagé. A la fin de la semaine, tout devrait être fini. » Ce que confirment les pompiers. « Alain Frasnier n’a pas pris les choses à la légère, il fait que ce qu’il faut », assurent les soldats du feu.

Odeurs nauséabondes

Les riverains ne seront alors plus dérangés par les fortes odeurs qui se dégagent de ce dôme incandescent. Toute la semaine dernière, les vents ont envoyé les fumées vers le quartier des Acacias de Mitry-Mory. « C’était une puanteur, un mélange d’œuf pourri et de bois brûlé, témoigne Carine. Je toussais, j’avais la gorge qui piquait. »
« On ne nie pas les nuisances olfactives. Et dès qu’il pleut, il y a encore plus de vapeurs, reconnaît Alain Frasnier. On s’est expliqué auprès de la direction régionale et interdépartementale de l’environnement et de l’énergie. » 

 Le Parisien F.L. | Publié le 11.03.2013, 07h00  

CLIQUEZ>

http://www.leparisien.fr/espace-premium/seine-et-marne-77/bientot-la-fin-de-sept-mois-d-incendie-11-03-2013-2631175.php

Partager cet article
2 avril 2013 2 02 /04 /avril /2013 23:01

Vendredi 29 après-midi était distribué un tract, invitant les usagers sncf et riverains à venir à une réunion ...le lendemain matin !!!!

Nouvel exemple d'anticipation communale nulle (la veille pour le lendemain !)...bref seulement 2 usagers à la réunion et 5 riverains...P4022163

A cette occasion il a été évoqué LE CAILLASSAGE des voitures depuis le viaduc de Compans. Des délinquants, puisque c'est un délit, caillassent les voitures qui passent sous le pont à la nuit tombée...parfois même en journée !

Que fait la mairie, qui connaissait le problème...euh, bah...euh bah...votez pour moi....euh ! Bla bla bla bla. la mairie se retourne vers la SNCF....qui se retourne vers ...bah où est passée la police rurale ????

Bref rien... comme d'hab ..... BIEN VIVRE ENSEMBEUX A COMPANS !.....

djioul 0503200324 p307 cc 01Attention aux possesseurs de décapotables !  

 

Partager cet article