Vous avez surement remarqué, dans les médias, que l'on donne davantage la parole aux coupables qu'aux victimes. La victime est souvent laissée de côté au bénéfice du condamné qui clame son innocence...en retournant souvent la réalité au profit de contre-vérités.
Les délinquants reproduisent, en fait, le schéma classique du coupable qui ne supporte pas les images que ses transgressions lui renvoient. Ils éprouvent alors le besoin de s'autoproclamer victimes innocentes… tout en désignant publiquement une cible commode.
C'est de la malhonnêteté intellectuelle, de faire passer le coupable pour une victime, et de désigner la victime comme coupable d'avoir accusé le délinquant ! Mais quand on est malhonnête... on en est pas à un mensonge de plus...