Si la discrétion n’est pas son fort en matière politique, les signes ne trompent pas : la pratique du cocoteasing-politique est une spécialité.
Par des grosses ficelles le maire est candidat à sa réélection : une manière pour lui d’être tranquille pour 5 ans supplémentaires (après ses déboires judiciaires et pour éviter tout audit de ses dépenses financières dispendieuses et calamiteuses : deux fois condamné pour corruption et rappelé à la loi plusieurs fois par le préfet ou le juge).
Bref... profitant d’un tract « musique » dans un style inclusif hélas erroné (les « familles companais-ses » qui est une faute -et oui ce n’est pas la peine d’utiliser l’écriture inclusive quand on est pas capable de le faire ), notre bon maire blablate sur sa gestion financière, et un bilan que tous les observateurs qualifient de catastrophique ...
Sacré lui ... toujours dans la fausse note...
Toujours la même note : le zéro pointé...
La réalité est que le maire ne gère pas : il dépense.
Vous le voyez dans le tableau si dessous disponible sur internet en ce moment.
> Là où il faut gérer :
Frais de personnels : mauvais
Impots locaux : mauvais
Dettes : mauvais
> Là où il faut depenser :
Investissement : dépensier
Emprunts : la commune est riche
Résultat comptable : bah oui, il y a tellement d’argent que tout est comblé.
Bientôt une étude sur le GRAND LIVRE COMPTABLE : vous savez là ou on voit les dépenses téléphoniques et autres Iphone communaux...