La commune se vante de 10 grands chantiers...
Bien évidemment c’est du bla-bla politico politicien.
La preuve en image !
Lisez-bien : rien de concret !
Rien de sérieux, pas de concrétisation, pas de fin...
Fable de La Fontaine ( quartier de Compans) :
Les promesses n’engagent que ceux qui y croient !
ETUDE DE LA MORALE de Jean de la Fontaine...
« En toute chose il faut considérer la fin »
La fable de La Fontaine intitulée "Le Renard et le Bouc" [1668] oppose précisément à la courte vue du bouc, le stratagème du renard. Si la morale finale, aussi courte que sèche (”En toute chose il faut considérer la fin”), stigmatise le manque d'expérience, la naïveté voire la bêtise du bouc, elle ne légitime pas pour autant la tromperie du renard. Ce serait en effet se méprendre sur les intentions du fabuliste Jean de La Fontaine que d'interpréter le texte comme une justification de la tromperie, du cynisme. Il faut plutôt voir dans la morale de la fable un appel à la lucidité et à la raison : si les plus hauts placés dans la hiérarchie de l'intelligence abusent ainsi des plus faibles et des plus démunis, c'est parce qu'ils en connaissent la vulnérabilité. Autrement dit, les faibles d'esprit sont vulnérables : ils se laissent facilement abuser, tromper. Leur point faible : le manque de lucidité, de clairvoyance, de perspicacité. La crédulité consiste dans une tournure de l'esprit portant quelqu'un, par manque de jugement ou par naïveté excessive, à croire facilement les affirmations d'autrui portant sur des faits ou des idées sans fondement sérieux ou sans vraisemblance.
Etre crédule, c'est croire sans évidence, sans démonstration. Le crédule croit trop facilement et trop naïvement des choses qui sont parfaitement invraisemblables. La crédulité est donc un acte d'ignorance et de sottise : le crédule ne sait pas douter. Au contraire, l'homme sensé et intelligent, examine, scrute la réalité, et en tire un jugement solide. Il faut savoir se méfier, se défier des habiles orateurs, des beaux parleurs, des bonimenteurs. Le personnage du Bouc dans la fable se caractérise par sa naïveté, sa candeur, son inexpérience de la vie. Il a pris au sérieux les vaines promesses de l'antipathique « Capitaine Renard », le faux-ami, le fourbe. Le Bouc montre une admiration plutôt niaise pour son compère [« je loue les gens bien sensés comme toi »], alors que le moyen de s'extirper du puits est assez enfantin : se faire la courte échelle !
Naïfs les Companais ?
Certainement pas...