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Compans Le maire de nouveau poursuivi par la justice
En 2009, Joël Marion commettait " une faute ". Le maire le concède aujourd'hui. À l'époque, il n'était pas sorti de la salle du conseil au moment de délibérer sur l'octroi d'un logement communal à plusieurs personnes, dont sa fille. Une association de Companais, affiliée à Anticor, qui lutte contre la corruption, a porté plainte devant le TGI de Meaux.
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Pourtant condamné à de la prison avec sursis pour des faits de corruption, notre bon maire se lâche, et comme à son habitude, le coupable accuse la terre entière... Ses allégations à l'encontre du maire de Chantilly et ancien ministre (le traitant de "vrai méchant") pourraient lui couter cher...
L’injure et la diffamation publique, effectuées par voie de presse traditionnelle, se définissent comme des délits de presse, soumis au régime de la loi sur la liberté de la presse du 29 juillet 1881.
Ces deux délits sont respectivement prévus par les premier et second alinéas de l’article 29 de la loi du 29 juillet 1881. La diffamation y est définie comme «toute allégation ou imputation d’un fait qui porte atteinte à l’honneur ou à la considération de la personne ou du corps auquel le fait est imputé», alors que l’injure s’entend de «toute expression outrageante, termes de mépris ou invective qui ne renferme l’imputation d’aucun fait».
Ainsi, dans un arrêt du 7 décembre 2010, la Chambre criminelle de la Cour de cassation a rappelé une jurisprudence constante en la matière selon laquelle «pour constituer une diffamation, l’allégation ou l’imputation qui porte atteinte à l’honneur ou à la considération de la victime, doit se présenter sous la forme d’une articulation précise de faits de nature à être, sans difficulté, l’objet d’une preuve et d’un débat contradictoire».
L’auteur du délit de diffamation encourt une peine maximum d’un an d’emprisonnement et/ou 45000 euros d’amende.
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Affaire Bettencourt: nouvelles relaxes pour Woerth, Banier tombe
Le tribunal correctionnel de Bordeaux a relaxé ce jeudi l'ancien ministre UMP Eric Woerth dans deux volets de l'affaire Bettencourt: l'abus de faiblesse comme le trafic d'influence. Le photographe François-Marie Banier écope lui d'une lourde peine.
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